Titre : | Pour ou contre les formations en anglais ? (2009) |
Auteurs : | Gildas Avoine ; COLLES LUC ; PECHEUR CHARLES |
Type de document : | Article : Article de revue |
Dans : | Louvain (n°180, 2009) |
Article en page(s) : | p. 18-19 |
Sujets-matières : |
enseignement supérieur
apprentissage des langues |
Index. décimale : | 37800 (Enseignement supérieur, universitaire, non universitaire. Haute écoles.) |
Résumé : |
CE DOCUMENT N'EST DISPONIBLE QUE SOUS FORMAT ELECTRONIQUE : POUR ACCEDER AU DOCUMENT, VEUILLEZ CLIQUER SUR L'ONGLET CI-DESSOUS "MULTIMEDIAS" " La formation universitaire, comme les productions scientifiques, doit-elle se faire en anglais? Le décret «Bologne» de 2004 tranche la question: pas plus d'un cinquième du programme au premier cycle (sauf en première année) et une moitié au deuxième ne peut être enseigné dans une autre langue que le français. Pourtant, plus qu'avant, les universités proposent, sur dérogation, tout ou partie de leurs cursus en anglais. À l'UCL, les masters en informatique ou encore certaines options du master en ingénieur de gestion sont ainsi dispensées entièrement en anglais. Pour ces matières, l'anglais s'est imposé comme langue de travail. Mais, plus largement, la conversion des cours dans la langue de Shakespeare pourrait-elle devenir légion? Sur ce plan, jusqu'où ira-t-on? L'anglais assuret-il vraiment un gain d'attractivité à ces programmes? Est-ce favorable en termes de démocratisation de l'enseignement? Et, philosophiquement, pourquoi défendre la francophonie? Louvain ouvre le débat.."[présentation extraite du document] |
Fonds : | Courant |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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PCF P 00004330 | n.c. | Indéterminé | Centre de documentation | Salle de lecture | Consultable sur place Exclu du prêt |