Titre : | 2010 : un printemps pour les « petits partis » ? [deuxième partie] : Vers une recomposition de l’extrême gauche ; Déliquescence de l’extrême droite (2010) |
Auteurs : | Paul Wynants |
Type de document : | Article : Article de revue |
Dans : | La revue nouvelle (n°12, 2010) |
Article en page(s) : | p. 74-89 |
Sujets-matières : |
élections
science politique |
Index. décimale : | 32900 (Partis politiques et mouvements d'idées.) |
Résumé : |
Voir aussi P4742 2010 : un printemps pour les « petits partis » ? [première partie] : Un oligopole des partis établis ? Voir aussi P4849 2010 : un printemps pour les « petits partis » ? [troisème partie] : Quel avenir pour les dissidences et les partis assimilés? ; Réunion à la France ou indépendance de la Wallonie? Voir aussi P4893 2010 : un printemps pour les « petits partis » ? [quatrième partie] : Vivant et quelques autres Vers une recomposition de l'extrême gauche : Depuis de longues années, la gauche radicale pâtit de son émiettement. Au cours du dernier lustre, plusieurs tentatives de regroupement ont été lancées. La plupart d'entre elles ont échoué à la suite de divergences idéologiques, programmatiques ou stratégiques. En vue du scrutin du 13 juin 2010, une alliance assez composite se constitue sous le nom de Front des gauches. Le Parti du travail de Belgique se tient à l'écart de ce rassemblement : il continue à faire cavalier seul. Y aurait-il deux modèles envisageables pour donner plus de poids à « la gauche de la gauche » ? Déliquescence de l'extrême droite : En quelques mots, un analyste du Crisp a parfaitement résumé l'évolution récente de l'extrême droite francophone : « dissensions internes, faiblesse structurelle et instabilité électorale » (Blaise, 2004). Pour ce courant présent au Parlement fédéral depuis deux décennies, les élections législatives du 13 juin 2010 marquent un tournant : elles se soldent par la perte de tous les sièges détenus à la Chambre et au Sénat. N'ayant plus de représentation au Parlement wallon et au Parlement de la Région de Bruxelles-Capitale depuis 2009, l'extrême droite francophone est ainsi privée de dotation publique. Ses capacités de redéploiement et de propagande s'en trouvent réduites. |
Note de contenu : |
Vers une recomposition de l’extrême gauche Le Front des gauches Le Parti communiste (PCB) La Ligue communiste révolutionnaire (LCR) Le Parti socialiste de lutte (PSL) Le Comité pour une autre politique (CAP) Vélorution Le Parti humaniste (PH) Caractères et résultats du Front des gauches Le Parti du travail de Belgique (PTB) Deux modèle pour renforcer la gauche radicale Déliquescence de l’extrême droite Le Front national (FN) Wallonie d'abord ! |
Fonds : | Courant |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
PCF P 00004776 | n.c. | Indéterminé | Centre de documentation | Salle de lecture | Consultable sur place Exclu du prêt |