Résumé :
|
« ... Pour commencer, si l'on en croit les sondages d'opinion publiés à la veille des élections régionales de 2009, Maxime Prévot serait l'un des responsables politiques les plus populaires à Namur, si pas le plus populaire. Cette notoriété a, sans doute, encore été boostée par son accession au poste de bourgmestre en 2012. Par ailleurs, face à lui, deux formations, le PS et le MR, sont encore en pleine reconstruction. Suite à l'affaire Sotegec pour laquelle plusieurs mandataires PS, dont les deux derniers bourgmestres Jean-Louis Close et Bernard Anselme, étaient inculpés pour des malversations dans l'attribution de marchés publics, les socialistes ont rajeuni leurs cadres. Hésitant longtemps avant de se choisir un nouveau leader, ils ont finalement attribué la tête de liste à Éliane Tillieux, la ministre wallonne de la Santé, de l'Action sociale et de l'Égalité des chances. Elle pourrait devenir la première femme bourgmestre d'une commune de plus de 50 000 habitants en Wallonie. Le MR lui aussi se cherche un nouveau meneur. Il sera conduit en 2012 par l'échevine sortante Anne Barzin et par le nouveau venu en politique, Luc Gennart, ancien commandant de la base aérienne de Florennes. Seul Écolo présentera le même leader qu'en 2006, son premier échevin, Arnaud Gavroy. . ... » [présentation extraite du document]
|