Titre : | Le financement et la comptabilité des partis politiques (2008-2013) : 2. Partis flamands et analyse transversale (2015) |
Accompagne : | |
Auteurs : | Jef Smulders |
Type de document : | Article : Article de revue |
Dans : | Courrier hebdomadaire du CRISP (n°2240-2241, 2014/35-36) |
Article en page(s) : | 99 p. |
Langues: | Français |
Sujets-matières : |
accès aux soins de santé
financement CD&V (Christen-Democratisch en Vlaams) Open VLD (Open Vlaamse Liberalen en Democraten) Groen (parti politique) LDD (Lijst Dedecker) (Libertair, Direct, Democratisch) Vlaams Belang Spirit (Sociaal, Progressief, Internationaal, Regionalistisch, Integraal-democratisch en Toekomstgericht) (parti politique) N-VA (Nieuw - Vlaamse Alliantie) SP.A (Socialistische Partij Anders) |
Index. décimale : | 32900 (Partis politiques et mouvements d'idées.) |
Résumé : | Pour assurer leur fonctionnement et leurs activités (dont leurs campagnes électorales), les partis politiques disposent d’une double source de moyens financiers : le financement privé, qui réside entre autres dans les cotisations des membres et dans les dons, et le financement public (direct ou indirect). Celui-ci se compose, d’une part, des dotations versées par le Parlement fédéral et par les Parlements wallon et flamand. Il inclut, d’autre part, les subsides accordés aux groupes politiques par les assemblées parlementaires et provinciales, ainsi que les subsides octroyés à certaines composantes des partis, comme les services d’études et de formation. Enfin, les élus rétrocèdent généralement à leur parti une part de leurs rémunérations politiques. Depuis 1989, la loi soumet à des procédures de contrôle la comptabilité de toutes les formations politiques disposant d’une représentation au Parlement fédéral. Le rapport que celles-ci sont tenues de remettre annuellement à la Commission de contrôle inclut notamment le détail des comptes consolidés du parti, ainsi que diverses indications sur ses différentes composantes et leurs organes de gestion. Le présent Courrier hebdomadaire étudie les comptes remis par les partis politiques relativement aux années 2008-2013. Dans ce second tome, Jef Smulders s’intéresse aux formations flamandes, à savoir le CD&V, la N-VA, l’Open VLD, le SP.A, le SLP, Groen, le VB et la LDD. Ensuite, il compare l’évolution des revenus et des dépenses de l’ensemble des partis politiques considérés (tant francophones que néerlandophones), non seulement entre eux, mais aussi dans le temps. Cet examen permet de développer certaines réflexions sur le mode de financement des partis tel qu’il existe à l’heure actuelle en Belgique. Il montre notamment à quel point les formations politiques qui y ont accès sont dépendantes du financement public. |
Note de contenu : |
3. La comptabilité des partis politiques flamands
3.1. Christen-Democratisch en Vlaams (CD&V) 3.2. Nieuw-Vlaamse Alliantie (N-VA) 3.3. Open Vlaamse Liberalen en Democraten (Open VLD) 3.4. Socialistische Partij Anders (SP.A) 3.5. Sociaal-Liberale Partij (SLP) 3.6. Groen 3.7. Vlaams Belang (VB) 3.8. Lijst Dedecker / Libertair, Direct, Democratisch (LDD) 4. Analyse transversale 4.1. La corrélation avec les scores électoraux 4.2. Des partis dépendants du financement par les pouvoirs publics 4.3. La part du financement privé 4.4. Les effectifs employés par les partis Conclusion |
Fonds : | Courant |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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103445 | n.c. | Revue | Centre de documentation | Magasin | Disponible |