Titre : | Les nouveaux visages de l’engagement : Dossier (2021) |
Type de document : | Article : Article de revue |
Dans : | Les cahiers de l'éducation permanente (N°56, Mars 2021) |
Article en page(s) : | 208 p. |
Langues: | Français |
Sujets-matières : |
accès aux soins de santé
société science politique gouvernement fédéral droits des femmes conflits sociaux écoféminisme |
Résumé : |
Il existe de multiples façons de militer. L’engagement passe du timbre au post-it écrit le sociologue Jacques Ion. On peut être syndicaliste, membre d’Attac ou d’Extinction Rebellion et s’impliquer chaque fois différemment. Des formes plus radicales semblent aujourd’hui privilégiées par les plus jeunes.
Il serait donc faux de croire à l’existence d’un profil type de militant. D’ailleurs Militant n’est pas un terme très heureux parce qu’il vient de militaire, il a une connotation d’ordre et de discipline. On lui préfère parfois le terme « activiste ». Côté associatif, l’engagement se porte plutôt bien. Il est le fait non plus d’associations sectorisées, mais de mouvements plus larges et transversaux. L’accès à la militance des syndicats se traduit par l’adhésion à des modes d’actions plus radicaux (comme la désobéissance civile, des actions ludiques) autrement plus attrayants que les actions plus traditionnelles comme la manifestation. Édouard Delruelle identifie quels sont les principaux fronts de lutte aujourd’hui. Il rappelle ce qu’est l’État social, une institution authentiquement politique, construite autour de trois piliers. Lors d’un entretien avec Jeanne Burgart Goutal on découvre ou redécouvre le mouvement pluriel qu’est l’écoféminisme. Cet ouvrage collectif redonne à la militance son rôle essentiel dans la société. |
Fonds : | Courant |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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100383 | 35185 CAH | Revue | Centre de documentation | Salle de lecture | Disponible |