Titre : | On ne peut plus rien dire : quand les minorités sexuelles et de genre interrogent le champ psychomédicosocial (2023) |
Auteurs : | Sandrine Detandt, Auteur |
Type de document : | Article : Article de revue |
Dans : | La revue nouvelle (N°4, 2023/4) |
Article en page(s) : | 8 pages |
Note générale : | Le colloque organisé par la Ligue Bruxelloise de Santé Mentale « On peut plus rien dire. Quand les minorités sexuelles et de genre interrogent le champ psychomédicosocial » à l’automne 2022 s’inscrit dans une ère d’interrogations et de tensions vives entre des champs qui semblent ne pouvoir se répondre. Celui, complexe, polysémique et relativement récent des études de genre et celui, tout aussi composite, de la santé mentale dont je m’autoriserai dans cet article à préciser l’origine, à savoir la psychanalyse. En effet, pour paraphraser l’anthropologue et psychanalyste Muriel Dimen (2003 : 42) « qui peut penser au sexe, sans penser à la psychanalyse » ? C’est d’ailleurs de cet endroit un peu hybride que je parlerai, en tant que psychologue d’orientation analytique travaillant dans un centre de recherche mobilisant les études de genre comme prisme d’investigation des rapports de pouvoir et en tant qu’enseignante aux étudiant·es futur·es psychologues à l’université les fondamentaux de la psycho(patho)logie. |
Langues: | Français |
Sujets-matières : |
santé mentale
majorité/minorité sexuelle (âge / droit) troubles psychiques / comportementaux |
Fonds : | Courant |