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Note générale :
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Le business avant tout. Le jeune prodige du FC Barcelone, Lamine Yamal, vient d’illustrer à merveille cette dérive : il ne signera plus gratuitement. Comme l’a révélé Mundo Deportivo, ses autographes se négocieront via un site spécialisé dans la vente d’objets dédicacés de stars du sport. Une pratique encore rare en Europe, mais déjà courante aux États-Unis, notamment en NBA, où l’émotion a depuis longtemps un prix. Ce geste anodin, une signature refusée à un fan, dit pourtant beaucoup du foot moderne. D’un sport populaire, fédérateur et presque sacré, on glisse vers une machine à cash où tout se vend et se revend : les maillots, les crampons, les droits télé… et maintenant les autographes.
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